"Marche de radetzky" Strauss
- Fermandossi...Parandose...En s'arretant...
- Non dobbiamo accettare idee o concetti senza impiegare la nostra capacità di distinguere ma non dobbiamo, neanchè, rifiutare tutto per paura, sarcasmo o pigrizia. E' lo spirito di questo blog! Buona lettura! No tenemos que aceptar ideas o conceptos sin impiegar nuestra capacidad a distinguir pero no tenemos, tampoco, que refutar todo por miedo, sarcasmo o pereza. Es el espiritu de este pequeno blog! Buena lectura! Nous ne devons pas accepter idées ou concepts sans utiliser notre capacité de reflexion mais nous ne devons pas non plus tout rejeter par peur, sarcasme ou paresse. C'est l'esprit de ce petit blog! Bonne lecture!
mardi 29 janvier 2008
LA VISITEUSE
Un jour - ou peut-être était-ce une nuit ? – je reçus une mystérieuse visite.
C’était une belle jeune fille, blonde aux yeux bleus, mystérieuse, intrigante, inaccessible.
Elle se tenait à quelques mètres et, bien que je tendisse la main vers elle, je ne pouvais pas m’approcher d’elle.
Elle me sourit et me parla :
« Je suis la meilleure part de Toi-même !
Tu dois me trouver et me reconnaître.
Seulement ainsi Tu deviendras Toi-même. »
Je commençais à lui répondre :
« Mais n’es-Tu pas déjà là en face de moi ? »
Pour toute réponse, elle me sourit de plus belle et disparut.
Tout le restant du jour – ou de la nuit – je repensais à la mystérieuse visiteuse. Je ne pouvais détacher ma pensée d’elle. Qui avait-elle dit qu’elle était ?
« La meilleure part de moi-même… »
Mais qu’y avait-il au fond de moi que je ne connaisse pas déjà ? Je me regardai dans la glace et scrutai mon regard pour descendre au tréfonds de mon âme : qu’allais-je trouver là ?
En fait, n’avais-je déjà pas tout ce qu’un homme peut désirer ? J’avais une charmante épouse – que, sûrement, plus d’un m’enviait -, trois gentils et beaux enfants, un bon métier – professeur – qui m’occupait grandement, une coquette petite maison sur la colline, une assez belle voiture et même un petit bateau ; un bon chien venait me lécher les mains lorsque je rentrais de mon travail, tous les ans nous partions en vacances découvrir un pays inconnu, pourtant…, pourtant je n’étais pas foncièrement heureux ; que me manquait-il ?
Pourquoi cette – quelque part – dérangeante visiteuse – qui, sur moi-même, avait l’air d’en savoir plus que moi-même – venait-elle me le rappeler avec insistance ?
La nuit suivante, elle revint. D’abord, je voulus lui dire de partir, car si Diana, mon épouse, la voyait, elle pouvait être jalouse d’elle.
Mais mes tentatives d’expulsion ne semblaient avoir aucune prise sur elle et la laisser complètement indifférente. Tout sourire, elle me dit :
« Tu ne peux me chasser, car je fais partie de Toi, autant vouloir essayer de chasser Ton propre cœur. Alors m’as-Tu trouvée ? M’as-Tu reconnue ? »
Devant mon air dépité, elle poursuivit :
« Je vais Te montrer quelque chose. Viens avec moi, je T’emmène au cinéma. »
Elle déroula comme un écran devant elle :
« Cela s’appelle le Miroir du Temps », m’expliqua-t-elle.
Le film commença. C’était un film muet, sans paroles, sans bruits et sans musique d’accompagnement, mais en couleurs.
Tout d’abord, je vis, de dos, un personnage brun comme moi, qui pouvait avoir ma taille. Il était allongé dans un lit et, comme le point de vue se relevait, je vis qu’une jeune femme blonde dormait près de lui, comme assise sur ses genoux à lui. Son bras à lui recouvrait le buste de la jeune femme et sa main gauche semblait serrer sa poitrine. La jeune femme étant aussi de dos, je ne voyais pas son visage, mais elle me semblait déjà charmante. Soudain l’homme se retourna et se redressa, tandis que la jeune femme semblait toujours dormir. Il s’assit, en face de moi, sur le bord du lit, ébouriffé mais heureux de commencer une nouvelle journée, et resta là un moment, introverti en lui-même, comme en prière. Il me ressemblait étonnamment, à la différence qu’alors je ne commençais pas mes journées par une prière de Gratitude envers Dieu.
Il se leva et se dirigea vers la salle d’eau. Je le vis entrer et sortir de la douche, puis se positionner devant le miroir au-dessus du lavabo, de sorte que, de dos, je voyais, de face, son reflet, mais non pas lui-même.
Il entreprit de se coiffer. Je remarquai qu’il se faisait la raie à gauche, donc comme moi, mais, soudain, je pris conscience qu’il s’agissait seulement de son reflet, donc le vrai personnage se faisait, en fait, la raie, symétriquement à moi, à droite.
Puis, lorsqu’il sortit de la salle de bains, la jeune femme blonde arriva, radieuse, à sa rencontre. Il était clair que ses yeux brûlaient d’Amour pour lui. Elle s’approcha de lui, guettant l’approbation dans son regard, en un candide mélange d’élan et de retenue. Dès qu’il l’eut aperçue, il ouvrit ses bras et elle s’y précipita avec Bonheur et Délice.
Je fus frappé par sa blondeur et pensai alors – j’ignore pourquoi – que ma propre épouse était brune.
L’homme brun s’habilla rapidement et descendit dans la cuisine s’adonner aux préparatifs du petit-déjeuner. Ses trois enfants arrivèrent peu après, deux filles et un garçon, le garçon au milieu. Pour ma part, j’avais - et ai toujours – une fille et deux garçons, la fille au milieu.
Ces enfants-là – c’était flagrant – vénéraient leur père ; pour le garçon, il était l’inébranlable exemple à suivre, un chêne dans sa vie. Quant aux deux filles, elles l’entouraient de leur tendresse câline mais respectueuse. Je me sentis un tantinet jaloux, car mes enfants se montraient passablement plus indifférents avec moi.
Après la prière en commun, toute la famille prit son petit-déjeuner. L’homme brun partit à son travail. Il était professeur comme moi, mais son école s’appelait « école de la Vie ». L’on y dispensait d’une façon vivante, le Savoir de la Création.
Là il enseignait l’Art et la Science de Vivre aux jeunes adolescents – il ne s’occupait que de garçons -, et ceux-ci se montraient pleins de déférence pour lui et assidus à son enseignement.
À la récréation, il rejoignit ses collègues en salle des professeurs. Je n’entendais pas ce qu’ils disaient, mais, au bout d’un moment, je compris qu’ils lui demandaient d’accepter la place de Directeur de l’école de la Vie. Il ne sembla ni acquiescer ni refuser, mais les remercia de leur confiance.
Je vis ainsi toute la journée de cet homme, qui me ressemblait tant, mais aimant et aimé de tous ceux qu’il rencontrait sur son chemin, et ce n’est que lorsque le générique apparut que je lus le titre du film :
« Histoire d’un Serviteur de Dieu ».
Je fus très étonné, car nulle part je n’avais vu que cet homme était un prêtre ou un pasteur d’une quelconque église, mais je compris soudain que par toute sa vie cet homme était un réel Serviteur de Dieu et que cette Notion n’avait rien à voir avec l’appartenance à quelque église que ce soit.
Lorsque le film fut terminé, mon apparition lumineuse, la jeune fille blonde, mystérieuse et angélique, était toujours là et me regardait en souriant énigmatiquement. Elle semblait attendre que je dise quelque chose.
Je ne savais que dire et, au bout d’un moment, assez sottement, tel un consommateur de cinéma, je dis :
« C’était bien ! »
Manifestement, elle attendait autre chose.
Comme je ne trouvais rien d’autre à dire, elle dit enfin :
« Ne voudrais-Tu pas être cet homme-là ? »
Je fus déconcerté, car je ne m’attendais pas à cette question, et alors je m’entendis répondre :
« Si, bien sûr ! »
Au moment où j’eus répondu cela, je pris conscience que ma réponse était l’aveu de la fausseté globale de ma vie et du caractère illusoire de mon bonheur, et me mordis les lèvres jusqu’au sang.
Mais, apparemment satisfaite de la réponse, la jeune fille ajouta :
« Cet homme-là, ce reflet dans ce Miroir, c’est… précisément Toi ! C’est l’image de l’homme que Tu aurais pu et dû devenir.
C’est plus que Ton double et plus que Ton jumeau, c’est Toi-même !
Sors-le du Miroir et Tu verras que c’est Toi ! »
Je compris soudain que l’Image que j’avais vue, c’était ce que j’aurais dû être, conformément au Plan, si ma vie avait bien évolué dans le bon sens, ce que j’aurais déjà dû être alors.
J’avais épousé une gentille femme mais qui n’était pas fondamentalement faite pour moi, avais eu avec elle des enfants quelconques et remplis de désirs impossibles à assouvir, et travaillais dans un établissement qui m’était passablement indifférent.
J’avais des possibilités grandioses et je n’avais choisi et récolté que du médiocre.
Le rouge de la honte me courut sur le front. Des larmes amères montèrent à mes yeux.
Non affectée par mon état de bouleversement émotionnel, la jeune fille me regardait amicalement, sans me juger, toujours souriante.
« Et Toi, qui es-Tu ? », demandai-je, implorant, entre deux sanglots.
« Je suis celle qui ne Te laisse aucun repos, parce qu’elle provient de Ton propre esprit. Je suis là pour toujours Te rappeler qui Tu es et d’où Tu viens, même et surtout lorsque Tu veux l’oublier.
« J’habite en chaque esprit humain qui ne s’est pas encore complètement laissé ensevelir sous les scories de l’intellect dominateur et du sentiment anesthésiant. Je fais même partie intégrante de lui. »
« Mais alors… quel est Ton nom ? », hoquetai-je alors.
« L’on m’appelle :
Nostalgie de la Lumière !!! »
Jacques Lamy
Source:http://www.appeldeshauteurs.net/oeuvres/visiteuse.html
"LA MALADIE DU BONHEUR"
LA MALADIE du BONHEUR Voici les symptômes de cette terrible maladie :
1 - Tendance à se laisser guider par son intuition personnelle plutôt que d'agir sous la pression des peurs, idées reçues et conditionnements du passé.
2 - Manque total d'intérêt pour juger les autres, se juger soi-même et s'intéresser à tout ce qui engendre des conflits.
3 - Perte complète de la capacité à se faire du souci (ceci représente l'un des symptômes les plus graves).
4 - Plaisir constant à apprécier les choses et les êtres tels qu'ils sont, ce qui entraîne une disparition de l'habitude de vouloir changer les autres.
5 - Désir intense de se transformer soi-même pour développer ses potentiels de santé, de créativité et d'amour.
6 - Attaques répétées de sourire, ce sourire qui dit "Merci" et donne un sentiment d'unité, d'harmonie avec tout ce qui vit.
7 - Ouverture sans cesse croissante à l'esprit d'enfance, à la simplicité, au rire et à la gaieté.
Si vous voulez continuer à vivre dans la peur, les conflits, la maladie et le conformisme, évitez tout contact avec des personnes présentant ces symptômes. Cette maladie est extrêmement contagieuse. Si vous présentez déjà des symptômes, sachez que votre état est probablement irréversible. Les traitements médicaux chimiques peuvent faire disparaître momentanément quelques symptômes, mais ne peuvent s'opposer à la progression inéluctable du mal. Aucun vaccin anti-bonheur n'existe. Comme cette maladie du bonheur provoque une perte totale de la peur de mourir qui est le pilier central des croyances de la société matérialiste moderne, des troubles sociaux graves risquent de se produire tels que des grèves de l'esprit belliqueux, rassemblement de gens heureux pour chanter, danser et célébrer la Vie, cercles de partages et de guérison, crises collectives de fou-rire… !
Source:http://www.cooperation.net/emergence21.html
lundi 28 janvier 2008
La joie!
Tagore
L'homme ne saurait apercevoir l'ordre qui règne dans la création, sans éprouver quelque chose de la joie d'un fils qui retrouverait la trace de son père.
Frédéric Ozanam
Mangez avec le riche, mais allez jouer avec le pauvre qui est capable de joie.
Remy de Gourmont
L'Amour
que possède le monde,
et pourtant elle est la plus humble
qui se puisse imaginer.
Gandhi
L'Amore è la forza la piu potente chè possieda il mondo e nonostante cio è la piu umile chè si possa immagginare.
Gandhi
mercredi 16 janvier 2008
Le plus grand désastre depuis 1929
Par Steven Pearlstein, Washington Post, 5 décembre 2007 « Si tout ceci ressemble à un château de cartes, c'est bien parce que c'en est un. Et il va s'effondrer, avec de sérieuses conséquences non seulement pour les banques et les investisseurs, mais aussi pour l'économie dans son ensemble. »
Selon le journaliste écossais Charles Mackay, les hommes deviennent fous en masse, mais retrouvent la raison un par un. Nous en sommes seulement au début du processus qui verra le monde financier retrouver la raison après l'éclatement de la plus grande bulle du crédit que le monde ait connue. Tout le monde semble admettre maintenant qu'il y aura de nombreux emprunts impayés et que le prix des logements va chuter nationalement pour la première fois depuis la grande dépression. Des prêteurs et des fonds d'investissement sont en faillite, et les banques ont procédé à de douloureuses dépréciations et viré leurs directeurs. Il y a également un large consensus sur le fait qu'une récession est à l'horizon. Mais croyez moi, nous n'avons encore rien vu. Ce qu'il faut bien comprendre c'est que, contrairement à ce que vous avez entendu le président Bush déclarer, il ne s'agit pas uniquement d'une crise de l'immobilier et des emprunts hypothécaires. Les géants financiers qui ont créé, packagé, noté et assuré tous ces emprunts subprimes, sont les mêmes, administrés par les mêmes dirigeants, touchant les mêmes primes, utilisant les mêmes techniques financières et de gestion du risque, que ceux qui ont créé, packagé, noté et assuré les emprunts du secteur de l'immobilier d'entreprise, des crédits de cartes de paiement et des crédits finançant le rachat d'entreprises. Il est très peu vraisemblable que ces établissements ait fait un meilleur travail dans ces autres secteurs que dans celui des emprunts hypothécaires. Mais l'étendue de leurs erreurs de jugement ne sera révélée que lorsque l'économie ralentira - ce qu'elle va sûrement faire. Au cœur de ce désastre en cours, se trouvent les Collateralized Debt Obligation (CDO) (produits obligataires structurés) qui ont été à l'origine du boom dans l'immobilier et le crédit au début des années 2000. Durant les dernières années, le marché des CDO a explosé, donnant lieu non seulement à des prêts hypothécaires, mais à une expansion de toutes les formes de crédit. Selon certaines estimations, l'en cours des CDO serait de près de 2 000 milliards. Mais commençons tout d'abord par les CDO adossés à des emprunts immobiliers. Aujourd'hui, tout le monde sait que la plupart des créances sur ces emprunts ne sont plus détenues par les banques jusqu'au remboursement. Elles sont regroupées par paquets et vendues à des investisseurs, de façon semblable à des bons. Dans la version la plus simple, chaque investisseur possèdait un petit pourcentage de l'ensemble, et reçevait la même rémunération que les autres. Puis quelqu'un a eu l'idée d'améliorer le système en vendant ces actifs en tranche, correspondants à différents niveaux de risque de crédit. Avec ce montage, si un emprunt du paquet était en défaut de paiement, seules les tranches les plus risquées absorberaient toutes les pertes avant de perdre toute valeur, puis le processus se répéterait de tranche en tranche selon un risque décroissant. Grâce à ce découpage, les crédits hypothécaires ont pu être répartis entre les différentes familles d'investisseurs. Les tranches les plus risquées, avec les notes les plus basses, étaient cédé à des fonds d'investissements à la recherche de hauts rendements et acceptant les risques inhérents. Les plus sûres, offrant un rendement inférieur, et notées « AAA » comme les bons du Trésor, ont été achetées sur les marchés monétaires et par les fonds de pensions évitant les investissements risqués. Les tranches les moins recherchées étaient celles du milieu, nommées « mezzanines, » qui présentaient des rendements moyens avec un risque supposé modéré. Suivez moi bien, maintenant, c'est là que cela devient intéressant. Car nous en arrivons au moment ou les banques ont eut la riche idée d'acheter des groupes de tranches mezzanine dans différents paquets. Puis, en utilisant des modèles informatiques sophistiqués, elles se sont persuadées, tout comme les agences de notation, qu'en répétant ce même processus de découpage, elles pouvaient se servir de ces actifs mezzanine pour créer une nouvelle famille de titres, certains à risques, certains mezzanines, mais la plupart pourvus de la note AAA que la plupart des investisseurs recherchaient. C'était une merveilleuse combinaison d'alchimie financière, qui a permis aux banques de Wall Street et aux agences de notations d'empocher des milliards de dollars de rémunération. Tant d'argent emprunté a été utilisé - pour acheter les emprunts initiaux, acheter les tranches de CDO, puis acheter les tranches de CDO de tranches de CDO - donnant au système un tel effet de levier, que les retours sur investissements - au moins sur le papier - étaient très attractifs. Et ont bien sûr attiré les fonds d'investissements britanniques, les banques allemandes, les villages norvégiens et les fonds de pensions de Floride. Ce que nous savons aujourd'hui, c'est que les banques d'investissement et les agences de notation ont sous-estimé le risque que les défaillances d'emprunteurs puissent atteindre des niveaux tels que même les investissements notés « AAA » perdent leur valeur. Une étude réalisée par Eidesis Capital, un fonds spécialisé dans les CDO, estime que pour les CDO créés durant les années 2006 et 2007, à l'exception de ceux des tranches AAA qui perdront de 6 à 31%, les autres investisseurs vont perdre toute leur mise. Les analystes de JP Morgan qui ont observé ce secteur, évaluent les pertes totales à au moins 300 milliards, pour la plupart encore dissimulées. Ceci inclut au moins 30 milliards de dépréciations supplémentaires dans les plus grandes banques et les fonds d'investissement, et beaucoup plus pour les fonds spéculatifs qui pour la plupart se refusent à reconnaître la réalité. Pendant ce processus de liquidation, les agences de notations sont en train de mener une réévaluation à la baisse qui forcera de nombreuses banques, fonds de pensions et fonds intervenant sur les marchés monétaires à vendre leurs CDO sur un marché si déserté par les acheteurs, que lors d'une vente récente, E-Trade n'a réussi à obtenir que 27 centimes du dollar pour un portefeuille pourtant très bien noté. Dans le même temps, les banques qui sont forcées de conserver les CDO dans leurs livres de comptes seront obligées de mettre de côté une grande partie de leur capital comme réserve de garantie, ce qui réduira considérablement la quantité d'argent disponible pour attribuer de nouveaux crédits. Les conséquences ne s'arrêtent pas là. Les pertes sur les CDO menacent maintenant la note « AAA » de plusieurs compagnies d'assurances qui ont acheté des titres de CDO ou ont assuré les CDO contre les pertes. Ces assureurs fournissant également leur garantie aux investisseurs pour les bons émis par les collectivités locales, les états et les municipalités ont revu à la baisse leurs émissions de bons, face à des investisseurs réticents. Si tout ceci ressemble à un château de cartes, c'est bien parce que c'en est un. Et il va s'effondrer, avec de sérieuses conséquences non seulement pour les banques et les investisseurs, mais aussi pour l'économie dans son ensemble. Ce n'est pas là seulement un avis personnel. Mais c'est la raison pour laquelle les banques gardent leurs liquidités, ce qui fait que l'en cours des crédits bancaires et du papier commercial se réduit drastiquement. C'est pourquoi les fonctionnaires du Trésor travaillent à plein temps pour tenter de lutter contre la marée montante des défaillances d'emprunteurs. C'est pourquoi les fonctionnaires du budget des Etats et de la Fédération anticipent une diminution sévère des revenus fiscaux l'an prochain. Et c'est pourquoi la Réserve Fédérale met désormais de côté ses craintes au sujet de l'inflation et du dollar en se dirigeant résolument vers une baisse des taux d'intérêts et en injectant des liquidités dans le système bancaire. Ce n'est peut-être pas 1929, mais on peut parier que c'est bien plus grave que la crise financière de 1987, celle des Caisses d'Epargne de 1990 ou l'éclatement de la bulle Internet de 2001. Publication originale Washington post, traduction Contre Info
Mercredi 16 Janvier 2008
danyquirion@videotron.ca
Lien:http://www.alterinfo.net/Le-plus-grand-desastre-depuis-1929_a15790.html?preaction=nl&id=5983317&idnl=30519&
THEODORE MONOD
"Abbiamo sperimentato tutto tranne
l'amore".
"Hemos intentado todo menos el amor".
Théodore Monod
mardi 15 janvier 2008
FRANCHEZZO
http://www.webster.it/libri-franchezzo_farnese_lampi_di-9788848805230.htm
FRANCHEZZO
Le récit hallucinant de Franchezzo après que, brutalement, il se soit retrouvé "mort"... mais en vie ! Par quel miracle cette âme déchue réussit-elle à s'élever, de plan en plan, dans le monde de l'Au-delà jusqu'aux "Portes d'Or" ? Par le miracle de l'amour que lui inspire une femme pure demeurée sur la Terre. C'est le thème universel de la Rédemption par l'Amour qui est à nouveau ici illustré. De plus, ce livre est une véritable encyclopédie sur la vie dans l'autre monde et les rapports entre l'En-deçà et l'Au-delà. Assurément le meilleur témoignage connu ! (Reçu par A. Farnese en 1896) "
[Récit complet disponible sous forme de brochure,avec de nombreuses notes: http://www.lulu.com/cristaldelumiere
lundi 14 janvier 2008
THE MEATRIX
dimanche 13 janvier 2008
samedi 12 janvier 2008
Paul Krugman: Après la disparition de l'argent. (The New York Times, Vendredi 14 décembre 2007)
Melody
http://www.wat.tv/playlist/487267/audio/618605/melody.html
Honoré de Balzac
"Ci sono due storie: la storia ufficiale, chè mente, e la storia segreta, dove ci sono le vere cause di cio chè succede." Honoré de Balzac
" Hay dos historias: la historia oficial, que miente, y la historia secreta, donde estan las verdaderas causas de lo que sucede. "Honoré de Balzac
vendredi 11 janvier 2008
UN PEU DE CINEMA!
Matrix: La matrice, le choix.
Parfois, au-delà de leurs effets de mode, de grands films nous parlent bien plus que ne le font tant de bla-bla car leur symbologie est forte de sens. (voir "la guerre des étoiles", "le seigneur des anneaux" etc...)
Dans ce cas un extrait du film "matrix".
Le savoir
Celui qui sait qu'il ne sait pas, éduque-le.
Celui qui ne sait pas qu'il sait, éveille-le.
Celui qui sait qu'il sait, écoute-le."
- Proverbe chinois -
"Colui chè non sa di non sapere, sfuggi da lui.
Colui chè sa di non sapere, educalo.
Colui chè non sa di sapere, risveglia in lui.
Colui chè sa, ascoltalo."
- Proverbio cinese -
"El que no sabe de no saber, dejalo.
El que sabe que no sabe, educalo.
El que no sabe de saber, despiertalo.
El que sabe, escuchalo."
- Proverbio chino -
Réchauffement climatique
Nous savons que le climat se réchauffe sur notre planète. Cela est-il du entièrement à l'humanité? (Informations de la NASA et journaux scientifique divers)
jeudi 10 janvier 2008
Crop circle
Et vous, vous en dites quoi?!
http://video.google.fr/videoplay?docid=5996825136092168079